Le Jean-Paul Daroux Project est né en 2016 avec Daroux au piano, Jean-Christophe Gautier à la contrebasse et Luca Scalambrino à la batterie. Le trio enregistre La légende des 7 sages en 2017 et Change or No Change en 2021. Leur troisième opus, La Cité engloutie, sort le 10 octobre 2025, toujours sur le label Plaza Mayor.
Titre du disque oblige, les huit morceaux composés par Daroux font référence à l'archéologie sous-marine : l'Atlantide, les sirènes, le sextant, le vent, le mistral… s'invitent au programme.
Daroux façonne des airs courts et efficaces, comme autant de chansons, (« La cité engloutie »), ballades lyriques ( « Mistral sur le levant »), bandes-son (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou comptines (« Dans l'œil du Sextant »), mais aussi des thèmes dansants aux couleurs latines (« Embarquement pour l'illusion ») ou andalouses (« Le récif des sirènes »). La plupart des morceaux foisonnent ( « Vents contraires ») ou se déroulent dans une veine néo-bop fluide (« Embarquement pour l'illusion »), avec des envolées noisy (« Le dernier chant venu de l'Atlantide »), aux allures de rock progressif ( « Mistral sur le levant »), aux consonances baroques (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou teintées de Moyen-Orient (« Mistral sur le levant »). Il y a aussi des passages mélodieux, accentués par la contrebasse jouée à l’archet (« Rue Carpeaux »). Les riffs graves et profonds de Daroux (« La cité engloutie ») sont soulignés par les lignes vrombissantes de Gautier (« Embarquement pour l'illusion ») et la batterie puissante de Scalambrino (« Vents contraires »). La contrebasse et la batterie sont tour à tour tranquilles (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou entraînantes (« Rue Carpeaux »), voire be-bop, avec une walking et un chabada, entrecoupés de rim shop (« Embarquement pour l'illusion »). Si la batterie se montre volontiers exubérante (« Dans l'œil du Sextant ») et vive (« Rue Carpeaux »), la contrebasse est plus économe (« Vents contraires »), tout en maintenant une carrure solide (« Le récif des sirènes »). Le trio joue également sur les contrastes sonores entre effets électro, piano cristallin, et contrebasse sombre.
Dans La cité engloutie, Daroux poursuit son bonhomme de chemin entre jazz et rock, avec une musique fringante et dansante.
Le disque
La cité engloutie
Jean-Paul Daroux Project
Jean-Paul Daroux (p), Jean-Christophe Gautier (b) et Luca Scalambrino (d).
Plaza Mayor - SERG408
Sortie le 10 octobre 2025
Liste des morceaux
01. « La cité engloutie » (5:32).
02. « Le dernier chant venu de l'Atlantide » (6:02).
03. « Le récif des sirènes » (5:06).
04. « Embarquement pour l'illusion » (5:26).
05. « Dans l'œil du Sextant » (5:30).
06. « Vents contraires » (5:15).
07. « Mistral sur le levant » (6:51).
08. « Rue Carpeaux » (5:48).
Tous les morceaux sont signés Daroux.
Titre du disque oblige, les huit morceaux composés par Daroux font référence à l'archéologie sous-marine : l'Atlantide, les sirènes, le sextant, le vent, le mistral… s'invitent au programme.
Daroux façonne des airs courts et efficaces, comme autant de chansons, (« La cité engloutie »), ballades lyriques ( « Mistral sur le levant »), bandes-son (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou comptines (« Dans l'œil du Sextant »), mais aussi des thèmes dansants aux couleurs latines (« Embarquement pour l'illusion ») ou andalouses (« Le récif des sirènes »). La plupart des morceaux foisonnent ( « Vents contraires ») ou se déroulent dans une veine néo-bop fluide (« Embarquement pour l'illusion »), avec des envolées noisy (« Le dernier chant venu de l'Atlantide »), aux allures de rock progressif ( « Mistral sur le levant »), aux consonances baroques (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou teintées de Moyen-Orient (« Mistral sur le levant »). Il y a aussi des passages mélodieux, accentués par la contrebasse jouée à l’archet (« Rue Carpeaux »). Les riffs graves et profonds de Daroux (« La cité engloutie ») sont soulignés par les lignes vrombissantes de Gautier (« Embarquement pour l'illusion ») et la batterie puissante de Scalambrino (« Vents contraires »). La contrebasse et la batterie sont tour à tour tranquilles (« Le dernier chant venu de l'Atlantide ») ou entraînantes (« Rue Carpeaux »), voire be-bop, avec une walking et un chabada, entrecoupés de rim shop (« Embarquement pour l'illusion »). Si la batterie se montre volontiers exubérante (« Dans l'œil du Sextant ») et vive (« Rue Carpeaux »), la contrebasse est plus économe (« Vents contraires »), tout en maintenant une carrure solide (« Le récif des sirènes »). Le trio joue également sur les contrastes sonores entre effets électro, piano cristallin, et contrebasse sombre.
Dans La cité engloutie, Daroux poursuit son bonhomme de chemin entre jazz et rock, avec une musique fringante et dansante.
Le disque
La cité engloutie
Jean-Paul Daroux Project
Jean-Paul Daroux (p), Jean-Christophe Gautier (b) et Luca Scalambrino (d).
Plaza Mayor - SERG408
Sortie le 10 octobre 2025
Liste des morceaux
01. « La cité engloutie » (5:32).
02. « Le dernier chant venu de l'Atlantide » (6:02).
03. « Le récif des sirènes » (5:06).
04. « Embarquement pour l'illusion » (5:26).
05. « Dans l'œil du Sextant » (5:30).
06. « Vents contraires » (5:15).
07. « Mistral sur le levant » (6:51).
08. « Rue Carpeaux » (5:48).
Tous les morceaux sont signés Daroux.